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Crier en silence
"Il y a deux cris dans l'homme, le cri de l'ange et le cri de la bête. Le cri de l'ange, c'est la prière ; le cri de la bête, c'est le péché."
(Jean-Marie Vianney)<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />
Tags : solitude, hiver, ange, animal, tristesse, silence, crier, péché, prière, bête
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Commentaires
Il y a en,
chacun de nous le yin et le yang, opposés et complémentaires... Bonne journée Ligeia.....
bonjour, tres belle image, mi-femme mi-corbeau, drole de mélange mais tres beau resultat !! bonne journéeMerci
Merci à tous de vos visites... le week end me laisse moins de temps mais je suis là et passerai sur vos blogs bientôt. Amitiés. Ligeia.Cris
Ces cris d'ange ou de bête ne tuent pas, ils sont silencieux parfois et forment notre être en double-face, yin et yang, comme tu dis, Armonia. Belle nuit. LigeiaHello
bonjour ta raison les we sont consacré aux enfants et a la famille, merci de ton passage et de ton gentil commentaire sur mon poème, et il es vrai que ca sortai de mon coeur, ca ma vraiment touché ton com,passe un tres bon dimanche a bientot, bisous, amitiéMouias...
Jean-Marie Vianney j'ai du mal avec lui et son christianisme du XIXeme, où l'on parle plus de l'enfer et du péché que d'un Dieu d'Amour! Je ne crois pas que les choses soient aussi tranchées. Les bourreaux prient aussi, quels que soit leur religion, et voulant faire les anges ils font les bêtes! Et ce qu'on appelle "Péché" est souvent relatif à une civilisation, une époque. A l'époque de J.M. Vianney les conditions lamentable de vie etde travail des ouvriers n'étaient pas un péché alors qu'avoir une "mauvaise pensée" (un fantasme sexuel)était un péché mortel! J'aime bien la femme-corbeau de l'image. Les corbeaux qu'on aime guère chez nous étaient les oiseaux d'Odin chez les vicking, et symboles de sagesse!Bonjour à tous
Pour Paladin : Je suis d'accord, le fait que je mette une citation ne veut pad dire que j'adhère aux discours de l'auteur. Bien souvent, elles illustrent une image que j'aime et me permettent de poser une question, de susciter des échanges et c'est ce qui m'intéresse. J'aime aussi provoquer (par exemple : la haine su soleil de Barbey d'Aurevilly ou les aubes navrantes de Rimbaud) En transformant l’idée de sacrifice (Jésus comme seule victime expiatoire), en proposant à l’homme comme idéal universel la vertu et la charité, le Christianisme a certes transformé la relation de l’homme au monde, à son corps, à autrui de telle manière qu’il apparaît bien en effet au chrétien digne de ce nom un interdit : celui de faire de l’érotisme une valeur. Dans le Christianisme, le mérite de cette correspondance de l’Eros à l’interdit est de conférer à la sexualité et à l’amour une dimension religieuse mais son tort est de perpétuer le statut de victime. L’objet de tout désir érotique par excellence n’est-il pas le corps ? Ici, avec la notion d’interdit se développe le sentiment de culpabilité. Aspiration fondamentale au néant, au sordide, mais aussi régression, retour de l’animalité en nous, l’érotisme est ce qui donne un sens réel à la transgression que l’absence de Dieu exacerbe. Au temps des mythes et à la Renaissance, il est clair que « l’érotisme civilisé » présent dans l’art et la littérature était un moyen de maîtriser la sexualité. Les déesses païennes la montraient apprivoisée : ce n’était plus ainsi une fonction bestiale mais transcendante et unificatrice : une émanation culturelle. Mais avec le culte monothéiste naît la haine de la matière et de la génération sexuée ; l’érotisme devient transgressif et interdit car naturel. Merci pour ton intervention. Belle journée à tous. Amitiés. Ligeia16LigeiaDimanche 22 Juillet 2007 à 14:20coucou
j'espère que ton we c'est bien passer et que tu es d'attack pour une nouvelle semaine de vacances lol passe une bonne journée gros bisous
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et bonne journée passe un bon week end bisous a+