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Max Ernst. La Grande Forêt (1927)
Lune ou soleil... astre métallique et froid qui luit, tel un étrange bijou dans cette forêt des artifices.Les surréalistes ont pu y voir la part obscure de chacun, ses angoisses, telles qu'elles peuvent se manifester dans le rêve ou dans les hallucinations. De ces paysages personnifiés surgit le doute, le fameux sentiment du Fantastique qui naît, à la croisée des chemins, sur la fragile frontière entre réel et surnaturel. La puissance évocatoire de ces œuvres surréalistes est un parfait exemple de ce que Freud nommait « l'Unheimliche » (L'inquiétante étrangeté.)
Ligeia
Tags : Max, Ernst, astre, forêt
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Commentaires
La phantasmagorie Freudienne... Comme " Cet obscur objet du désir " Buñuelesque et " The dark side of the moon " Pink Floydien... " Das Unheimliche " par Sigmund Floyd ! (sourire) ! Bien à vous Ligeia. Armanny